cachou a écrit :Drapeau blanc, je ne fais partie d’aucune de ces fédérations. Vu l’agressivité latente, je me tais de nouveau. Je me contenterais de lire en googlelisant sur le sujet.
Une fois que les FFM et la FFAMHE auront réglées leurs histoires de marques, de noms et de statuts, à coup de procès, on pourra peut-être en rediscuter sereinement.
Il y a tout de même une très grosse différence entre la FFAMHE et les deux FFM, c'est que la FFAMHE a été fondée en réunissant une bonne partie des acteurs historiques des AMHE. Ils n'y sont certainement pas tous, et je n'aurais pas la prétention de les connaître tous, mais quand on regarde la liste de noms, on voit tout de même les représentants des assos les plus actives depuis une douzaine d'années, celles qui publient des transcriptions et traductions de manuels, qui organisent des événements, des stages, qui se déplacent sur les évènements organisés à l'étranger…
Il suffit de regarder la liste des français ayant encadré un atelier ou présenté une communication lors des rencontres de Dijon pour voir qu'une grande partie des fondateurs de la FFAMHE y figurent. Je pense qu'on peut difficilement remettre en question le rôle des rencontres de Dijon dans la structuration du petit milieu des AMHE français.
Par ailleurs, je concède volontiers que c'est une condition initiale plus facile à obtenir pour les AMHE, qui comptent tout au plus deux ou trois centaines de pratiquants, que pour le médiéval (qu'on parle de reconstitution, évocation ou quelconque truc en -tion), un loisir qui concerne des milliers (voire dizaines de milliers ?) de gens en France.