Pour répondre à Messires Tino et Graharz :
Tu as entièrement raison quand tu dis que dans l'action il n'y a pas de place pour se torturer l'esprit.
Ceci est valable pour celui qui travaille et s'entraîne avec le même ou son propre cheval... Je faisais allusion dans un post précédent à mon 'dernier des Spahis' avec qui je m'entraînais exclusivement à l'époque. J'avais alors une entente parfaite pendant mes fameux bouzkachi-courtois, à croire qu'il lisait dans mes pensées...
Mais lorsque l'on a un cheval de reprise habitué aux coups de sonnette (à la bouche) donnés par les débutants, un cheval de louage ou d'emprunt voire, un niveau très moyen en équitation, le cavalier va se concenter sur sa monture... comme au tennis, lorsque l'on débute on réfléchi comment se placer, quoi faire lorsque la balle arrive sur soi.. Panique à bord! je fais un revers, un coup droit etc.. lorsque l'on est aguerri on ne se concentre uniquement sur la petite balle jaune à placer par rapport au gus d'en face... Pareil avec le behour, mêlées et pirouettes et cacahouètes...
Chacun applique alors ses techniques instinctives et l'on ne pense plus si le mollet était comme si ou comme ça.
Au Plaisir !
Willem