Le coup du tesson de verre reprend la technique du racloir, utilisé en menuiserie et ébénisterie.
Le racloir étant un bête rectancle de métal auquel on donne un fil à la meule et à "l'effiloir" (je ne connais pas le vrai nom de cet outil qui est en réalité une lime de section triangulaire lissée afin de faire disparaitre les dents).
Et, bien que cela paraisse ridiculement simple, donner du fil à un racloir avec cet objet n'est pas si aisé...
Tirer le fut à travers un profil ne me parait pas vraisemblable, par manque de prise (entrainant des faux gestes, un bois mal travaillé, voire des blessures).
Pour effectuer un travail propre, lorsque l'on travaille une pièce de bois elle est systématiquement fixée (dans un étau, ou sur un établi), et c'est l'outil qui est mobile.
extraieur de fut de flèche
Modérateur : L'équipe des gentils modos
heu... je suppose que tu parles de l'ancien temps?
parce que les combinés actuels, c'est la pièce de bois qui bouge.
même les scies à ruban, genre scieur de long, la pièce mobile est le tronc d'arbre, sur une toupie, c'est encore la planche qui bouge, etc.
parce que les combinés actuels, c'est la pièce de bois qui bouge.
même les scies à ruban, genre scieur de long, la pièce mobile est le tronc d'arbre, sur une toupie, c'est encore la planche qui bouge, etc.
Je parlais du travail à la main, pas spécialement dans un temps ancien.
À la machine c'est autre chose. L'outil tournant tout seul on peut manipuler la pièce, l'effort est fourni par la machine. Je parlais seulement de mouvements manuels. Lorsque l'on a besoin de fournir un effort sur une pièce de bois on a tout intérêt à ce qu'elle soit bien stable (surtout qu'on fait ce genre de choses avec des outils qui coupent très très bien en général).
D'ailleurs en parlant de scieurs de long, lorsqu'on le faisait à la main (à la parisienne: un scieur en bas et un scieur en haut) la bille de bois était bien immobile
Tu vois ce que je veux dire.
À la machine c'est autre chose. L'outil tournant tout seul on peut manipuler la pièce, l'effort est fourni par la machine. Je parlais seulement de mouvements manuels. Lorsque l'on a besoin de fournir un effort sur une pièce de bois on a tout intérêt à ce qu'elle soit bien stable (surtout qu'on fait ce genre de choses avec des outils qui coupent très très bien en général).
D'ailleurs en parlant de scieurs de long, lorsqu'on le faisait à la main (à la parisienne: un scieur en bas et un scieur en haut) la bille de bois était bien immobile

Tu vois ce que je veux dire.
je te suis... c'était juste pour mettre du sel et préciser l'idée
Pour reprendre, tirer sur une pièce de bois à travers une filière, induit une longueur raisonnable pour la prise, et une sacrée force pour la faire traverser... là encore, j'ai un doute, belle perte de matière et d'énergie
Pour reprendre, tirer sur une pièce de bois à travers une filière, induit une longueur raisonnable pour la prise, et une sacrée force pour la faire traverser... là encore, j'ai un doute, belle perte de matière et d'énergie
- smaragde
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Pour une toupie (par exemple, ça tient pour les autres outils cités aussi) tu bouges ta pièce en bois, mais la vitesse de déplacement de ta pièce est en général faible devant le déplacement de l'outil (vitesse de rotation de la toupie, vitesse d'aller-retour de la scie-ruban,...)PIC a dit : heu... je suppose que tu parles de l'ancien temps?
parce que les combinés actuels, c'est la pièce de bois qui bouge.
même les scies à ruban, genre scieur de long, la pièce mobile est le tronc d'arbre, sur une toupie, c'est encore la planche qui bouge, etc.
Ce qui fait que globalement, la pièce de bois est considérée comme immobile par rapport à l'outil qui l'attaque (ensuite, une fois la zone travaillée - ce qui va vite avec ces outils - on avance la pièce de bois et on recommence - au final de manière continue mais lente par rapport à l'action de l'outil).
Donc même les outils modernes sont des outils mobiles sur des pièces fixes.
Smaragde d'Antreloup,
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- smaragde
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Et cela conduit à la classification la plus générale:
D'un côté, la pièce est immobile (ou presque), l'outil est en mouvement "rapide" => c'est une fraise (donc une scie égoïne est une fraise... sisi)
De l'autre côté, la pièce est en mouvement et l'outil immobile, c'est un tour (et on tourne le bois aussi, donc pas de sectarisme, il a droit à toutes les faveurs
)
D'un côté, la pièce est immobile (ou presque), l'outil est en mouvement "rapide" => c'est une fraise (donc une scie égoïne est une fraise... sisi)
De l'autre côté, la pièce est en mouvement et l'outil immobile, c'est un tour (et on tourne le bois aussi, donc pas de sectarisme, il a droit à toutes les faveurs

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- louis le troubadour
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HS onle guild a dit :dommage ce sujet me plaisait aussi, l idée de la chaire retournée et du sang,,,, marié a la soufrance[img]smile/SMILEYEdSHOT.gif[/img]tout dépend de la flèche, si elle était en forme d'harpon je suppose qu'elle était poussée pour la faire ressortir de l'autre coté (ouille ouille ouille!!!)
Sinon avec une pince passée à la flamme probablement...
tout dépend également de l'époque, je suppose que les techniques ont évoluées avec le temps...
lolba quoi j suis mercenaire[img]smile/dejaout.gif[/img]
c'est vrai que la troma au moyen-âge c'est un sujet trés riche...
HS off
On bout du compte la méthode qui semble la plus raisonnable c'est encore tailler les futs à la mains...Ce n'est peut-être pas si débile que ça, les carreaux étaient bien forgés et non moulés!!
Heureux celui qui a put pénétrer les causes secrètes des choses! (Virgile)