C'est la conclusion à laquelle nous sommes arrivés pratiquement tous au MI. Un objet, c'est faisable (et encore faut-il l'utiliser à bon escient... Se taper une bière dans une repro à l'identique de calice... Euh... Je sais pas, j'ai un doute
). Le textile... On cherche, on cherche... Je procède vraiment de plus en plus, comme déjà dit, par élimination. Il a d'abord fallu désapprendre totalement tout ce qu'on m'avait dit à mes débuts. Maintenant, j'essaie de consulter au maximum les pièces archéos (même en photo...). Faut comparer, observer, tester en vrai, essayer avec différents tissus, vérifier si le résultat correspond à ce qu'on voit sur les pièces, sur les oeuvres d'art (avec corrections stylistiques, analyses iconographiques -qui porte quoi, quand et comment), tester l'usage... Faut pas que ça craque à cheval, ou en bougeant (du coup, pour les braies, je commence par faire trèèèèèèèèèèèès large, et après, ben, y a qu'à rétrécir pour arriver à la bonne taille. Trop petit, c'est plus chiant à récupérer
)...
Il y a des choses que je ne pige pas. Là où les images sont utiles, c'est souvent pour les accessoires, les associations de couleurs... Et pourtant, il y a du portnawak à la louche. Je sais que mon obsession des ceintures fait beaucoup marrer (plus ou moins gentiment), mais, j'arrive pas à piger comment autant de gens peuvent à ce point ne pas voir que ce qu'ils font ne correspond à aucune source ! C'est un zappage total de certains détails, tant l'habitude est prise.
Lady Palace Canada Dry.
Floodito ergo sum
Reporter de guerre 1214
Rhum ! Rhum ! Rhum !
ENLUMINURE ! PAS ICONO ! SCROGNEUGNEU !
Grande Machine Ahurie, adoratrice servile de Prez Tagada.
La Prez a TOUJOURS raison !
CQHB !!!