Darshan tu dis :
Bravo pour ce joli métier que tu as choisi.C'est à l'instit de choisir. La troupe a du lui proposer cette anim, elle a accepté. Le choix pédagogique revient à l'enseignant pas aux troupes.
Je suis professeur des écoles je connais donc bien ce genre de choses.
Après comme il a été dit on ne voit pas l'ensemble de la prestation.
J'interviens en milieu scolaire depuis une vingtaine d'années et j'ai constaté de grands changements dans la manière d'envisager la venue d'intervenants extérieurs, notamment le fait que le terme de prestation s'est effectivement peu à peu imposé.
Pourquoi serait-ce à l'instit' de choisir ? Ne peut-on imaginer qu'instit' et intervenants prennent le temps d'affiner leur projet ensemble ? Les intervenants ne peuvent-ils pas eux-mêmes affirmer leurs choix pédagogiques ?
De mon côté, il y a certaines activités que je propose mais que je me refuse à proposer de façon isolée, imaginant qu'elles sont complémentaires à d'autres.
Concernant ce que le reportage montre de cette intervention, j'applaudis ! Mais je ne pense pas que l'essentiel de cette intervention tienne dans l'apport de notions d'Histoire, plutôt dans une relation enseignant-élèves renouvelée. Ceci dit, pour travailler dans des milieux très différents, j'affirme ceci : il est aussi possible de retenir l'attention des enfants avec des activités plus pacifiques, comme de la poterie, de la musique, de la calligraphie ; cela dépend beaucoup de la façon dont on le propose, de l'assurance que l'on se ressent en tant qu'enseignant-intervenant aussi, cette assurance pouvant être plus grande quand le projet pédagogique est approfondi et partagé.