Le Roi de paille, Roman (très) historique de Fabrice Hurlin

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malatesta
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Enregistré le : sam. mars 05, 2011 11:32 am

jeu. févr. 18, 2016 1:45 pm

Bonjour,

Je me permet de relayer ici l'appel à souscription du médiéviste et romancier, Fabrice Hurlin. Souscription pour son nouveau roman historique XIVe, Le Roi de paille.

Après le génial Confession du Prince noir et Le loup de Marans, c'est un roman (bien sourcé ;)) à ne pas rater pour tout-es les médiévistes que nous sommes !
Le lien pour le bulletin de souscription est ci-dessous ! 25 e frais d'expédition inclus !
https://www.cloud.sfr.fr/?shareObject=1 ... 383e01a34a

L'histoire du bouquin ? Je laisse parler l'auteur :

"Tout d’abord, il s’agit d’un roman historique, très documenté qui se déroule entre l’Italie, la Hongrie et la Provence au XIVe siècle, en pleine guerre de Cent Ans. Roman historique, en ce qui me concerne, veut dire que les personnages principaux sont des personnages ayant existé, qu’ils soient célèbres ou non. Il se peut que certains personnages fictifs les entourent… Ils ne sont là que pour mettre leurs actes en valeur. De qui est romancé dans le roman en fait, ce sont les dialogues : on met les personnages en présence et on imagine ce qu’ils ont bien pu se dire dans les circonstances où ils se sont rencontrés.

Gianni Baglioni est un négociant respecté de la ville de Sienne, en Italie. Or un jour, on vient lui révéler qu’il serait l’authentique héritier d’un des derniers capétiens directs, Louis X le Hutin, roi de France. Comment est-ce possible et comment peut-il y croire ?
Une substitution d’enfant aurait été opérée au palais de la Cité à Paris lorsqu’il était nouveau-né pour le protéger d’un assassinat prémédité. Des preuves en sont fournies par le testament de sa nourrice, celle qu’il a toujours cru être sa mère. Mais lui-même, s’il veut bien, à force, se laisser convaincre, a quasiment tout oublié de sa première enfance vécue en France jusqu’à l’âge de 10 ans. Plus vifs sont ses souvenirs lorsqu’il a été emmené en Italie pour y vivre auprès de la famille de son père supposé.
Il finit pourtant par retrouver des bribes de ce passé enfui et se laisser convaincre de tenter sa chance pour retrouver un présent dont on l’a spolié. Il décide de faire valoir ses prétentions à la couronne de France.
Il doit se trouver des alliés puissant parmi les princes et les prélats, il doit se faire reconnaître par la pape. Il entreprend alors une longue et difficile diplomatie, obtient des succès mais aussi nombre de revers et choisit donc alors de prendre à sa solde des routiers, hommes de guerre attirés par des promesses de conquêtes et de butins. Il est aidé en cela par un ami fidèle, l’Anglais John Devernays.
Les dés de son destin sont jetés…"
Numquam exitus belli sine voluntate Dei
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