Toujours à propos de la définition des AMHEs : on parle beaucoup des manuels historiques des maîtres du bas moyen age et de la Renaissance, mais quand est il de l’étude du combat de l’antiquité, haut moyen age et moyen age « classique » (XI-XIII.s.) … cela normalement doit faire partie des AMHEs. C’est « juste » que ces périodes sont plus complexes à étudier… il faut donc bien là, faire des recherches.
Pierre Al a dit :
La recherche n'est pas de l'enseignement, et vice versa. Le monde universitaire en souffre depuis suffisamment longtemps.
un chercheur, ca se forme.
Un prof, ca se forme.
Si quelqu'un a les deux formations, tant mieux, mais l'un ne donne pas des compétences pour l'autre.
Là, moi, je te parle pas à un niveau professionnel, mais au niveau amateur et pour les personnes se passionnant pour les AMHEs. Et dans ce cas, le chercheur et l’enseignant, c’est le même.
Pierre Al a dit :
De plus, soyons honnètes, il y a DEJA des enseignements fixés. QUI parmi les nouveaux "chercheurs" transcrit et traduit LUI MEME les textes ? Expérimente LUI MEME les théories nées de ces traductions ? Pas beaucoup. La majorité utilisent les ouvrages de Lindholm, Tobler, Cinato, Gracia, Clements Etc etc. Les traductions gratuites de l'ardharme, de la ghilde... Vous utilisez DEJA un matériel pré etabli, pré formaté. C'est juste que, visiblement, vous ne vous en rendez pas compte.
J’ai l’impression aussi que notre définition de « chercheur » diffère légèrement : je n’ai jamais dis que chaque chercheur devait repartir à zéro. Bien sur, qu’il va s’appuyer sur des traduction en langue moderne (ne serait ce que l’Anglais) ; il y a très peu de personne qui peuvent lire dans les VO des textes. Bien sur qu’elle peuvent s’appuyer sur l’expérience de ceux qui on étudier avant eux. La seul chose sur laquelle j’insiste, c’est qu’elle ai le droit à un regard critique et pouvoir mettre en doute (et peut être à tors d’ailleurs) si elle ne sont pas convaincu.
Ce que j’entends par chercheur, c'est chercher la documentation, l’analyser ou la ré analyser pour la comprendre, la testé (pour voir si cela marche en combat « réelle » - d’où le fait que la pratique est un outil de la recherche- et enfin, si en même temps que cette pratique ce n’est déjà fait pour son groupe, partagé et donc enseigné la chose à ces camarades.
Pierre Al a dit :
Pas la peine, c'est déja comme ca que ca marche.
En effet, je rappelle qu'il est strictement ILLEGAL de préter ou de louer du matériel au sein d'une association qui ne soit pas du matos aux normes CE.
Possible, et alors ?
Nos épées que l’on utilise sont elles aux normes CE ?
Et dans la reconstitution, les casques, les côtes de maille, les gambisons, les gants…ext sont ils aux normes CE… Non, ils sont même issu du bricolage pour la plupart, et parfois, on ce les prête les uns aux autres… Et je n’ai jamais entendu parler qu’il y avait eu un seul problème de se coté là ; même par une assurance (et pourtant, elles, si elle peuvent éviter de faire leur travail
) et ils s’interdise pas de ce tapé dessus que je sache ; c’est peut être même moins sécuritaire que nous parfois. Donc la loi peut exister, si personne la fait appliquer parce que peut être pas applicable / ou pas l’envie de la faire appliquer… la belle affaire !
Pierre Al a dit :
Ce serait peut etre sympa qu'on arrete de passer pour des bricoleurs martiaux, justement !
D’un autre côté, c’est p’t être en parti grâce aux bricoleurs martiaux que les AMHEs ont pu progresser dans leur études !
En suite, c’est p’t être les premier concerné qui savent le matériel dont ils ont besoin.
Je ne suis pas sûr que le matériel normé aujourd’hui que tu affectionnes ne soit pas d’une origine de bricolage par un mec qui en a eu utilité.
…
Sinon, je ne vois pas ce que tu veux faire comme formation, ni comment tu veux t’y prendre ?
Certaine asso vont vouloir s’intéressé à qu’un seul type d’arme, mais voir la différance qu’il y a entre les différant maîtres ; d’autre, s’intéresseront à un seul maître, mais toutes ces armes, sans compté ceux qui voudront apprendre le combat antique ou de d’autre période…ext. on peut trouver d’autre et de nombreux exemple encor.
Alors que vas devoir apprendre un moniteur ? Parce que la somme des connaissances et des recherches encor à faire me semble considérable ; devra t’il être spécialisé ? Dans ce cas, y aura-t-il assez de stage pour spécialiser ces personnes, et notamment dans les armes les moins populaires ? J’ai en fait un doute, et si c’est la solution adoptée, j’ai peur qu’il y est des laissé pour compte.
Maintenant tu à peut être une autre solution ?
En suite, j’ai été sur ce lien :
http://asso.amhe.free.fr/index.php?page=all
Il n’y a peut être pas toutes les troupes AMHE, mais c’est quand même représentatif de notre diffusion :
1 à Lille, 1 en Haute Sâone, 1 « à côté » dans la Doubs, 2 sur Montpellier, 2 à Lyon, 1 dans la Drôme, 1 à Le Mans (72), 2 en Isère dont une à Vienne (à côté de Lyon), 2 (qui n’en font qu’une) dans Les Bouche du Rhône, 3 sur Paris et alentour.
La mienne, je ne la compte pas, je suis trop nouveau et petit
.Ca nous fait donc 16 assos. Répartie essentiellement au nord de la France, et un peut à l’est / sud est…
On voit donc sans problème que les AMHEs en France, c’est peut connu, et mal répandu.
Que vois tu comme solution pour permettre dans l’avenir la création de nouveaux club.
Si une bande de gars veulent créer une asso alors que aucun d’entre eu n’ont de l’expérience, et qu’ils habitent loin des asso existantes, que leur propose la fédération dans ta vision des choses ?
Maintenant, moi, dans ma vision des choses, justement c’est assez simple : n’importe qui peut s’improvisé comme chercheur / enseignant, ce qui ne l’empêche pas de prendre conseil des anciens à travers le net bien sur, pas besoin de formation. C’est conseil peuvent être tant de l’ordre technique de combat que d’astuce d’enseignant. Là, on vois très vite que les deux problèmes présentés au dessus sont résolus, et ça ne sera pas forcément un joyeux bordel (les gens ne sont pas si con que ça quand même… et puis sinon, il y aura toujours le système des réputation qui, qu’on le veuille ou pas d’ailleurs, existera quand même).
Enfin, pour l’aspect compète, dans ma vision ou les AMHEs sont de la recherche, et non un sport (même si c’est de la recherche qui demande d’être un minimum sportif et de la pratique
)
il n’a pas lieu d’être.
De plus, j’ai bien peur que si la compète entre dans les AMHEs, il y est très vite de la perversion : les club ou les personnes voulant gagné des titres étudierons peu voir plus du tout les techniques interdites en compétition… et iront même jusque à incorporé de nouvelle technique (inventé ou venant des AMO). C’est quasiment certain.
Or, rien nous empêche (et même le contraire) de s’affronter entre nous pour le plaisir (et même en suite d’analysé le combat) et de venir se vanter de nos exploits ou des exploits des autres sur le net ou autre. Bien sûr que l’on voudra savoir qui est le meilleur, mais là encor, la réputation fera son œuvre.
Bref, pour moi, la fédé ne servira qu’a rassemblé les troupes AMHEs, pour obtenir des assurances moin cher, organiser des stages (mais pas de formations), et se faire connaître à un publique plus large. Mais elle doit être conçu de façon à s’adapté aux assos déjà existantes (et non le contraire) et en prévoyant la création des assos à venir.