Parce que relever les deux c'est pas facile et on risque de TOUT lever (y compris la chemise) si on fait pas gaffe (cf moi)
Parce que le surcot tu l'enfile pour avoir chaud et que quand t'as pas de gants c'est vachement bien de relever son surcot (cf Rozenn qui a toujurs son surcot relevé ainsi pour se réchauffer les mains et baisser le poid du biniou)
Je dis pas que j'ai raison non plus lol
(ps et encore une dans la nature)
Bon reste une fresque italienne où là c'est le surcot qui est relevé (mais c'est la seule que je connaisse) où la robe traine, où il est relevé en deux points par 2 ronds... Qui sont les seules partie avec les endroit où on est sur que c'étais doré qui ont été repris... crotte ils savaient pas ce que c'étais non plus, ils ont fait deux gros points noirs.
[Aide] méthode pour relever le bas d'une robe XIVè
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perlinelatisserande
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von spessen
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bonsoir Aelysaelys a écrit :certes mais pourquoi relever avec des boutons la robe du dessous et se retrouver à tenir celle du dessus ? comme on le voit sur la premiere madame là : http://img38.imageshack.us/img38/2008/k137708.jpg
maintenant je dis pas que j'ai raison, hein ? juste que c'est quand même bizarre
pour cette question précise, au vu de l'ampleur du chtruc, il serait complètement inefficace de le relever avec quoi que ce soit
d'autre que...ses bras.
De plus, en observant les attitudes/poses des personnages dans les enluminures du roman d'Alexandre, j'ai été frappé par la façon
qu'ont certains personnages de porter ou tenir qq chose à la main : le bout de leur longue et fine manche, par exemple...ou un bout de vetement plissé...est ce que cela ne serait pas une "contenance" pour ces personnages? une codification de bien-séance quelconque?
Gaufre un jour, gaufre toujours...
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Gerault d Armagnac
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...
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De retour après un long moment d'absence...
Alors, voici la suite de l'aventure.
J'ai donc confectionné la robe mais je n'ai pu la finir que quelques jours avant le camp. Du coup, le jour du camp, j'ai fais des points de couture pour dire d'avoir la robe relevée.
Et bien je vous le confirme c'est vraiment la merdouille s'il y a du monde autour de vous !
Ca tient, le problème n'est pas là. Le problème c'est les copains qui ont le don de vous marcher dessus (allez comprendre comment ils marchent eux ! sûrement en levant les pieds à 20cm du sol) et donc de faire péter vos points de couture les uns après les autres.
J'ai passé 2 jours, le fil et l'aiguille dans l'aumônière, à refaire mes points sans cesse !
Par contre, je l'ai ressortie une seconde fois, après avoir refais mes points et là, aucun soucis, personne ne m'a marché dessus (beaucoup moins de monde) et ça a bien tenu.
Je n'ai que cet aperçu de plein pied... on n'y voit pas grand chose mais bon. Je dois refaire des photos.
Je pense sérieusement faire des petits boutons car je ne supporterai plus m'amuser avec les points de couture à surveiller en permanence et comme elle traine bien à terre si je ne la relève pas, je ramasse feuilles et gadoue.
Je pense que von spessen pense à ce genre de détail concernant les "ronds" et donc potentiels boutons dans le Roman d'Alexandre.
J'y ai songé moi aussi, on voit le même dessin sur le col et les manches mais le reste du temps on ne voit rien du tout !
QUID ?
Alors, voici la suite de l'aventure.
J'ai donc confectionné la robe mais je n'ai pu la finir que quelques jours avant le camp. Du coup, le jour du camp, j'ai fais des points de couture pour dire d'avoir la robe relevée.
Et bien je vous le confirme c'est vraiment la merdouille s'il y a du monde autour de vous !
Ca tient, le problème n'est pas là. Le problème c'est les copains qui ont le don de vous marcher dessus (allez comprendre comment ils marchent eux ! sûrement en levant les pieds à 20cm du sol) et donc de faire péter vos points de couture les uns après les autres.
J'ai passé 2 jours, le fil et l'aiguille dans l'aumônière, à refaire mes points sans cesse !
Par contre, je l'ai ressortie une seconde fois, après avoir refais mes points et là, aucun soucis, personne ne m'a marché dessus (beaucoup moins de monde) et ça a bien tenu.
Je n'ai que cet aperçu de plein pied... on n'y voit pas grand chose mais bon. Je dois refaire des photos.
Je pense sérieusement faire des petits boutons car je ne supporterai plus m'amuser avec les points de couture à surveiller en permanence et comme elle traine bien à terre si je ne la relève pas, je ramasse feuilles et gadoue.
Je pense que von spessen pense à ce genre de détail concernant les "ronds" et donc potentiels boutons dans le Roman d'Alexandre.
J'y ai songé moi aussi, on voit le même dessin sur le col et les manches mais le reste du temps on ne voit rien du tout !
QUID ?
Alors, j'ai pensé à ce qu'on appelle aujourd'hui une "boutonnière à brandebourg" : d'un coté, un petit bouton, soit un "vrai" bouton (en corne, en os, en je-ne-sais-quoi), soit un bouton en passementerie. De l'autre coté, la fameuse boutonnière à brandebourg, qui ne nécessite pas de couper le tissu : la boutonnière est constituée d'une "boucle" de passementerie, généralement assortie d'un dessin +/- important de passementerie et qu'on coud sur le tissu de la robe.
Ce qui m'y a fait penser, c'est cette enluminure :
http://molcat1.bl.uk/IllImages/Kslides% ... 144596.jpg
Book of Hours, Use of Maastricht ('The Maastricht Hours')
Netherlands, S. (Liège); c. 1310 - c. 1320
détails : http: //www.bl.uk/catalogues/illuminatedmanuscr ... &NStart=17
Ca ressemble vraiment furieusement à une boutonnière à brandebourg avec juste le petit bouton de passementerie (mais sans motif décoratif avec) cousu en bas de la robe de dessus (désolée si mes mots sont faux, je n'ai pas le vocabulaire approprié) et la boutonnière à brandebourg cousue sur la robe de dessous (le vêtement blanc), à la hauteur où on veut remonter.
Pour illustrer mon propos, voici une boutonnière à brandebourg tout ce qu'il y a de contemporaine mais qui me parait ressembler considérablement à ce qui est sur l'enlu : http://www.savoirtoutfaire.com/wiki/Brandebourg.html
Avoir un petit bouton d'un coté et une boutonnière à brandebourg de l'autre, ça me parait 1- permettre de remonter ou pas la robe de façon assez aisée, sans risquer de l'esquinter comme avec une épingle ou une broche ou autre truc à ardillon ; 2- ressembler visuellement beaucoup à ce qu'on voit.
Dans les enlus où la robe est indubitablement "multi-relevée", il y a visiblement différents cas mais tous me semblent compatibles avec l'idée d'une boutonnière à brandebourg : à vue de nez, en fonction de l'endroit où est fixé le bouton et de celui où est fixée la boutonnière, il me semble qu'on peut répondre aux différentes images.
A mon avis, ce serait intéressant que vous fassiez des simulations avec un petit bouton (soit un bouton-bouton, soit un bouton de passementerie), fixé à différentes hauteurs sur la robe de dessus (la priorité, à mon avis, est de tester d'abord tout en bas de la robe, sur l'ourlet, qui a en plus l'avantage d'être une zone plus solide puisqu'on a 2, voire plus épaisseurs de tissu) et avec des petites boutonnières à brandebourg simples, pour lesquelles il faudrait tester différents emplacements, soit à l'arrière de la "robe de dessus" (la face qui est le long des jambes), soit sur la robe de dessous.
Ce qui m'y a fait penser, c'est cette enluminure :
http://molcat1.bl.uk/IllImages/Kslides% ... 144596.jpg
Book of Hours, Use of Maastricht ('The Maastricht Hours')
Netherlands, S. (Liège); c. 1310 - c. 1320
détails : http: //www.bl.uk/catalogues/illuminatedmanuscr ... &NStart=17
Ca ressemble vraiment furieusement à une boutonnière à brandebourg avec juste le petit bouton de passementerie (mais sans motif décoratif avec) cousu en bas de la robe de dessus (désolée si mes mots sont faux, je n'ai pas le vocabulaire approprié) et la boutonnière à brandebourg cousue sur la robe de dessous (le vêtement blanc), à la hauteur où on veut remonter.
Pour illustrer mon propos, voici une boutonnière à brandebourg tout ce qu'il y a de contemporaine mais qui me parait ressembler considérablement à ce qui est sur l'enlu : http://www.savoirtoutfaire.com/wiki/Brandebourg.html
Avoir un petit bouton d'un coté et une boutonnière à brandebourg de l'autre, ça me parait 1- permettre de remonter ou pas la robe de façon assez aisée, sans risquer de l'esquinter comme avec une épingle ou une broche ou autre truc à ardillon ; 2- ressembler visuellement beaucoup à ce qu'on voit.
Dans les enlus où la robe est indubitablement "multi-relevée", il y a visiblement différents cas mais tous me semblent compatibles avec l'idée d'une boutonnière à brandebourg : à vue de nez, en fonction de l'endroit où est fixé le bouton et de celui où est fixée la boutonnière, il me semble qu'on peut répondre aux différentes images.
A mon avis, ce serait intéressant que vous fassiez des simulations avec un petit bouton (soit un bouton-bouton, soit un bouton de passementerie), fixé à différentes hauteurs sur la robe de dessus (la priorité, à mon avis, est de tester d'abord tout en bas de la robe, sur l'ourlet, qui a en plus l'avantage d'être une zone plus solide puisqu'on a 2, voire plus épaisseurs de tissu) et avec des petites boutonnières à brandebourg simples, pour lesquelles il faudrait tester différents emplacements, soit à l'arrière de la "robe de dessus" (la face qui est le long des jambes), soit sur la robe de dessous.
Je ne connaissais pas le nom de cette méthode mais en regardant les images je suis pas sure que c'est ce dont on m'a parlé.
On m'avait conseillé de faire une petite boucle sur le bord de l'ourlet car je ne désirai pas couper dans ma robe pour faire passer les boutons.
Car si je trouve une autre méthode, je peux découdre les boutons ni vu ni connu mais si je fais des trous, ça, je ne peux pas le "réparer".
Par contre, l'image que tu montre c'est à peu près la seule que je vois passer constamment et donc je sais pas si on retrouve ça ailleurs pour comparer.
On m'avait conseillé de faire une petite boucle sur le bord de l'ourlet car je ne désirai pas couper dans ma robe pour faire passer les boutons.
Car si je trouve une autre méthode, je peux découdre les boutons ni vu ni connu mais si je fais des trous, ça, je ne peux pas le "réparer".
Par contre, l'image que tu montre c'est à peu près la seule que je vois passer constamment et donc je sais pas si on retrouve ça ailleurs pour comparer.
Margaux,
Justement, dans la boutonnière à Brandebourg (enfin, c'est le nom d'aujourd'hui), il n'y a aucun trou : la boutonnière est faite en passementerie (+/- épaisse, on peut prendre quelque chose de fin), qui est cousue sur le tissu donc pas de trou et quelque chose qui peut même être remplacée si ça s'use plus vite que la robe ou juste pour changer. Les "ronds" qu'on voit sur certaines représentations peuvent correspondre au dessin de passementerie qui sert à fixer sur le vêtement, il suffit de choisir son "dessin" pour que ça fasse un rond, les possibilités sont infinies ou presque.
Justement, dans la boutonnière à Brandebourg (enfin, c'est le nom d'aujourd'hui), il n'y a aucun trou : la boutonnière est faite en passementerie (+/- épaisse, on peut prendre quelque chose de fin), qui est cousue sur le tissu donc pas de trou et quelque chose qui peut même être remplacée si ça s'use plus vite que la robe ou juste pour changer. Les "ronds" qu'on voit sur certaines représentations peuvent correspondre au dessin de passementerie qui sert à fixer sur le vêtement, il suffit de choisir son "dessin" pour que ça fasse un rond, les possibilités sont infinies ou presque.
Non, pas forcément, le trèfle, c'est un exemple, c'est tout.
En fait, si j'essaye de résumer les grands principes et d'être parlante, tu as une "boucle" de passementerie (+/- épaisse et fioriturée) qui te sert de boutonnière, elle est "en l'air" et, comme il faut bien fixer tout ça, ton morceau de passementerie continue en formant un motif de ton choix cousu à la surface du tissu, c'est "l'accroche" de ta boutonnière sur le tissu (le tissu est donc parfaitement intact, il y juste de la passementerie cousue dessus, avec une boucle en l'air au milieu du morceau de passementerie). Et de l'autre coté, tu as un bouton donc, là encore, pas de trou, juste de la couture.
Flute, ce serait tellement facile si on se voyait de te montrer l'idée.
En fait, si j'essaye de résumer les grands principes et d'être parlante, tu as une "boucle" de passementerie (+/- épaisse et fioriturée) qui te sert de boutonnière, elle est "en l'air" et, comme il faut bien fixer tout ça, ton morceau de passementerie continue en formant un motif de ton choix cousu à la surface du tissu, c'est "l'accroche" de ta boutonnière sur le tissu (le tissu est donc parfaitement intact, il y juste de la passementerie cousue dessus, avec une boucle en l'air au milieu du morceau de passementerie). Et de l'autre coté, tu as un bouton donc, là encore, pas de trou, juste de la couture.
Flute, ce serait tellement facile si on se voyait de te montrer l'idée.
Modifié en dernier par kalima le mar. janv. 25, 2011 3:53 pm, modifié 1 fois.
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perlinelatisserande
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Ben moi sur cette image je vois des noeuds mais la méthode dont tu parles kali j'y avais pensé aussi.
effectivement margaux, ce n'est qu'une boucle donc ça peu aussi bien ^être fait dans le fil qui a la même couleur que tarobe et donc au final quasi invisible si tu ne met pas les boutons.
effectivement margaux, ce n'est qu'une boucle donc ça peu aussi bien ^être fait dans le fil qui a la même couleur que tarobe et donc au final quasi invisible si tu ne met pas les boutons.
L'avantage de la méthode "brandebourg" est que du coup, les "tractions éventuelles" (genre messieurs à pieds plats) 
se répartissent sur une surface, ce qui risque de nettement moins endommager la robe que une "bête boutonnière".
"En situation d'époque": pour peu que l'adolescente grandisse, que la "mode" change (des fois c'est subtil la "mode"), que la robe se repasse de l'une à l'autre (changement de taille, d'âge, héritage, d'occasion de porter la robe): on déplace le brandebourg, et hop!
se répartissent sur une surface, ce qui risque de nettement moins endommager la robe que une "bête boutonnière"."En situation d'époque": pour peu que l'adolescente grandisse, que la "mode" change (des fois c'est subtil la "mode"), que la robe se repasse de l'une à l'autre (changement de taille, d'âge, héritage, d'occasion de porter la robe): on déplace le brandebourg, et hop!
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von spessen
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- Localisation : quelque part entre Philippe I et Philippe VI...
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Bon, ben.... 
!
content de voir que Kalima est arrivée à la même conclusion que moi, en observant les enluminures.
j'avais pensé à un tout petit très fin cordon tissé aux doigts ou fait du même tissu que la surcotte, quasi-invisible...itou...
si nous sommes plusieurs à être arrivés à cette conclusion, yapluka !
Margaux, nous ne prévoyons pas de mettre en place ce système sur une surcotte avant peut être plusieurs mois (beaucoup-beaucoup de choses à coudre avant !!!)
tu sera donc la première testeuse !
!content de voir que Kalima est arrivée à la même conclusion que moi, en observant les enluminures.
j'avais pensé à un tout petit très fin cordon tissé aux doigts ou fait du même tissu que la surcotte, quasi-invisible...itou...
si nous sommes plusieurs à être arrivés à cette conclusion, yapluka !
Margaux, nous ne prévoyons pas de mettre en place ce système sur une surcotte avant peut être plusieurs mois (beaucoup-beaucoup de choses à coudre avant !!!)
tu sera donc la première testeuse !
Gaufre un jour, gaufre toujours...